1. |
J'attends la Nuit
03:59
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Ils viennent la nuit
Sans faire de bruit
Ils s’infiltrent lentement
Jusqu’aux lendemain
Ça fait des boucles
Ça fait des boucles
Ça fait des boucles sans fin
J’attends la nuit
Le silence l’absence de bruit
J’attends la nuit
Mais le sommeil m’ennuie
Je n’attrape pas le sommeil
Moi je veille, je surveille,
j’me réveille
Demain, demain c’est rien
Demain, Demain y’a rien
C’est maintenant, le présent
C’est l’instant, le conscient
L’inconscient, l’impatient
J’attends la nuit
Le silence l’absence de bruit
J’attends la nuit
Mais le sommeil m’ennuie
J’me réveille pas, J’me débat
Y’a plus de bruit, Y’a plus de cri
Et les idées sont parties
Demain, demain c’est rien
Demain, demain y’a rien
J’enfonce ma tête au fond
J'vais vriller, faut s’étendre,
Se détendre être tendre
C’est quoi la nuit
A part être nue dans un lit, c’est être nulle alitée
C’est être une nullité, Faut arrêter de penser
Jme réveille pas
Jme réveille pas
Jme réveille plus
Jme réveille pas
Jme réveille pas
Jme réveille plus
C’est quoi la nuit
A part être nue dans un lit
C’est être nulle alitée
Faut arrêter de penser
Arrête
Faut arrêter de penser
Jme réveille
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2. |
La Sirène
03:00
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Il y avait des cailloux
Pour éviter les remous
T’as balancé un rocher
C’est le raz-de-marée
Mais la mer c’est toi
Et le calme en toi
La sirène s’en va
Tu l’as jeté dans la mare
Maintenant guettes la mer d’huile
Stagnant tu attends
Et c’est le raz-de-marée
Où que tu ailles, quoique tu fasses
La tempête c’est toi
Et le calme en toi
Et la sirène s’en va
Où que tu ailles, quoique tu fasses
La tempête c’est toi
Et le calme viendra
Mais la sirène
Mais la mer c’est toi
Et le calme en toi
La sirène s’en va
C’est le raz-de-marée
Mais la mer c’est toi
Et le calme viendra
Mais la sirène s’en va
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3. |
Braventez Eñvor
03:35
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Je te serre tu me pousses
En me tirant vers toi
De profil commente le fils du temps
Il me semble si grand
Le bateau tangue quand tu retiens tes larmes
Je crois en tes mots doux presque criés
Moi je chante dans ta langue
Noyée d’eau salée
Je cherche ton regard
Ris encore et dis moi
T’es-tu déjà demandé
Où c’est chez moi ?
Où c’est chez moi ?
Où c’est chez toi ?
Où c’est chez toi ?
Où c’est chez moi ?
Où c’est chez moi ?
Où c’est chez toi ?
Où c’est chez toi ?
Braventez
Eñvor
Mains blessées ciment mouillé
Dos courbé œuvre penchée
80 années gravées dans tes yeux gris
Mais tu n’as pas vieillis
Frère
Père
Homme
Va breur
Vazad
Vraz
Grand-Frère
Grand-Père
Grand-Homme
Va breur Vraz
Vazad Kozh
Eden Vraz
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4. |
Phare Astral
02:50
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La nuit elle voit la lumière
Petite, choisie la prière
Se berçant dans son lit
Le remplissant de bruit
Rêveuse elle dessine sa maison
Remplie d'amour de raison
Percée de fenêtres
Pour que le soleil y naisse
Surplombant la mer, une mère
En pierre astrale
Les vagues s'abattent, rester droite
Fermeté ondulée modérée
Mou-ouvement du vent
Je voyais en toi
Je t'ai choisi toi
J’ai vu - J’ai vu
Je voyais en toi
Je t'ai choisi toi
J’ai vu - J’ai vu
Elle devenait un phare
Elle devenait un phare
Devenait un
Devenait un
Elle devenait un phare
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5. |
Introspection
02:46
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Ce n’est pas la haine qui me gène
C’est l’absence d’amour
Ce n’est pas le froid qui m’effraie
C’est l’absence de sens
Un carrefour sans détour
Mais des tours qui détournent
Et moi, je meurs de douleurs de rancœur et de peur sans amour
Et toi, tu génères ta lumière une guerrière couturière de bonheur
Je danse sur un fils et je tombe
Par absence d’amour
Ce n’est pas la douleur qui m’écœur
C’est l’absence d’amour
Le velours pour toujours
La chaleur dans ton cœur
Et toi, tu meurs de douleurs de rancœur et de peur sans amour
Et moi, je génères ma lumière une guerrière couturière de bonheur
Comment
Comment faire
Comment taire
Combien tu erres
Comment
Comment faire
Comment taire
Combien tu erres
Comment
Comment faire
Comment taire
Combien tu erres
Comment
Comment faire
Comment taire
Combien tu erres
Comment
Comment faire
Comment taire
Combien tu erres
La froideur la pudeur
Puanteur haut-le-cœur
Et moi, je meurs de douleurs de rancœur et de peur sans amour
Et toi, cette lumière une guerrière couturière de bonheur
Et toi, tu meurs de douleurs de rancœur et de peur sans amour
Et moi, je génère ma lumière une guerrière couturière de bonheur
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Lilia Envor Brittany, France
Un coeur qui bat au rythme des vagues fracassantes et des yeux qui reflètent les intenses nuits étoilées. Lilia Eñvor partage ses « Souvenirs Darounta » dans son 1er EP. D’une voix à la fois douce, puissante et teintée de mélancolie, Lilia nous fait voyager sur ses compositions en français et en breton dans un style trip hop aux sonorités électro et rock. ... more
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